Philippe Jubin, boulanger-pâtisser-confiseur à Courfaivre, raconte: "Mercredi en début de soirée, on me demande de livrer 600 baguettes pour le lendemain matin. Impossible, compte tenu de l’immense travail qu’exige déjà la manifestation des deux chevaux. Un travail qu’on effectue volontiers et avec fierté, mais à un moment donné, il faut savoir dire stop. Mon laboratoire a beau être ultramoderne, ce n’est pas une usine à pain. Cuire du pain est une chose. Préparer la pâte une autre. Tout dépend aussi des quantités et des délais. Mais au final, on trouve toujours une solution."
Départ et arrivée
Philippe Jubin s’était engagé auprès des organisateurs dès le début. "Il y a eu le report lié au Covid, puis on est reparti. Au début, on m’avait...