À Orvin, le peintre Léo-Paul Robert a aménagé un jardin dans lequel lui et ses fils ont puisé l’inspiration. Un siècle plus tard, ce site préservé ouvre ses portes au public.
Lorsque Léo-Paul Robert acquiert la propriété du Jorat, en 1906, le site n’est qu’un simple champ sur une colline, bordé d’une route en contrebas. Le Biennois est alors en recherche d’un refuge en pleine nature, loin de sa ville.
Partir d’une toile blanche
Située à une dizaine de kilomètres, Bienne est trop bruyante et trop polluée à son goût.
L’artiste, un des peintres suisses les plus importants de sa génération, part d’une toile blanche pour dessiner les plans de sa résidence d’été et de son atelier, à quoi s’ajoute...